Tueur en série sanguinaire, mais père de famille exemplaire, Cooper (Josh Hartnett) a invité sa fille de douze ans (Ariel Donoghue) au concert de Lady Raven, sa popstar favorite (jouée par Saleka Shyamalan, fille ainée du cinéaste).

Las, son plaisir est gâché par l’irruption dans la salle de trois cents policiers qui se sont faufilés parmi les trente mille personnes qui assistent à l’événement.

Piégé, Cooper parviendra-t-il à s’échapper? Imprévisible, le nouveau thriller du réalisateur de «Sixième sens», «Incassable» et «Le Village» nous entraîne dans une série de rebondissements retors qui nous clouent littéralement à notre siège…

Piètre humoriste, Tom (Ahmed Sylla) n’est guère un meilleur père. Pour preuve, il a largué la mère de son fils pendant sa grossesse, se bornant depuis lors à quelques apparitions aux anniversaires…

Son existence bascule le jour où on lui confie la garde de son enfant désormais âgé de huit ans, à la suite du décès de son ex-amoureuse. Tom va donc devoir se montrer digne de la confiance qui lui est accordée, d’autant qu’une belle-mère (Zabou Breitman) veille au grain!

D’emblée, Tom place la barre très haut en offrant au gosse un cahier vierge avec pour mission d’y consigner ses rêves les plus fous, lui promettant de tous les réaliser… Un premier long-métrage touchant signé par l’humoriste Léa Lando.

Mercredi 11 septembre à 20h le film sera suivi d’une discussion avec la réalisatrice.

La cinéaste Orane Burri développe depuis plus de vingt ans une filmographie engagée, qui en fait une véritable passeuse d’humanité. Après «Le Prix du gaz» en 2020, cette réalisatrice aussi émérite qu’obstinée explore aujourd’hui nos «Inestimables Forêts».

Avec ce nouveau documentaire qui nous entraîne au cœur de la forêt, s’interrogeant avec l’acuité qui la caractérise sur sa gestion durable, dont les débuts remontent à quelque cent-cinquante ans.

Fort à propos, la cinéaste élargit son sujet, liant le local au global, pour ébranler nos certitudes quant à la survie d’un bien inestimable que s’évertuent à ruiner nos sublimes banques, lesquelles soutiennent toute honte bue la déforestation mondialisée!

Dimanche 8 septembre à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur et d’un apéritif aux saveurs iraniennes…

Le nouveau documentaire du réalisateur du «Temps des adieux» suit les trajectoires de plusieurs réfugiés afghans et iraniens qui s’efforcent de commencer une nouvelle existence après leur arrivée en Suisse.

Sans pathos, Mehdi Sahebi montre comment ces personnes déjà fragilisées viennent butter contre la rigidité cruelle du système d’asile, alors qu’elles doivent composer avec des histoires personnelles souvent dramatiques.

Sahebi, qui a lui-même fui l’Iran pour la Suisse dans les années 1980, réussit à créer avec ses protagonistes une proximité émotionnelle remarquable… En résulte un film profondément humain, qui montre comment l’amitié, la solidarité et l’humour sont gages d’espoir et de survie.

Transposition au cinéma de l’un des jeux vidéos les plus célèbres au monde, «Borderlands» raconte l’équipée sauvage et drolatique d’une chasseuse de primes intersidérale à la gâchette très facile.

La prénommée Lilith (Cate Blanchett) a été engagée par un milliardaire de très bas étage (Edgar Ramirez) pour qu’elle retrouve sa fille qui semble avoir fugué sur Pandore, une planète particulièrement chaotique…

Pour réussir sa mission, Lilith va s’entourer d’une galerie de loosers haute en couleur, dont une scientifique frappadingue jouée avec gourmandise par Jamie Lee Curtis… Dans la lignée iconoclaste des «Gardiens de la galaxie»!