Editos

Edito - 22 février 2010

Encore une histoire d'eau...

Ce tout petit garçon, juché sur son tabouret, affublé du long tablier rouge (!) à l'ourlet dentelé, penché sur la pâte à biscuits étalée qu'il met en formes avec une concentration extraordinaire...

Ce tout petit garçon s'arrête un instant, me sourit de toutes ces dents moins quelques unes...  puis reprend son travail en baissant la tête.

Ce tout petit garçon croyant que je suis sortie de la pièce se met alors à chanter - sotto voce - cette si jolie rengaine : "un petit poisson, un petit oiseau s'aimaient d'amour tendre, mais comment s'y prendre, mais comment s'y prendre, quand on est dans l'eau ???? un petit oiseau, un petit poisson s'aimaient d'amour tendre, mais comment s'y prendre, mais comment s'y prendre, quand on est dans l'air ????

Ce tout petit garçon de bientôt 1m80 joue aujourd'hui (sur sa playstation, what else ?) à un jeu magnifique qui s'appelle "Océans" et il est tout heureux de pouvoir nager au milieu des requins sans se faire dévorer... (profite, ça va pas durer).

Aujourd'hui je pense à ce principe, entendu autrefois, qui disait : "faire envie plutôt que de contraindre" (les termes exacts étaient:  "l'attrait plutôt que la réclame" - ceci pour les puristes).  Voilà deux fois déjà* que, sans avoir une âme particulièrement missionnaire ni même écologique, je me retrouve impressionnée par la beauté des images qui défilent devant mes yeux. Il y a comme ça des gens qui arrivent à vous faire (re-)croire à la Vie. Il y a comme ça des gens qui vous montrent à quel point notre planète EST belle, et qui vous donnent envie de "participer" pour qu'elle le reste, plutôt que de vous faire de longs discours moralisateurs sur le contenu de votre sac poubelle. Et, grâce à ces gens-là, grâce à ces images-là, j'en oublie mes colères devant le Sieur Untel qui mettait un point d'horr(nn)eur, dans les années combien déjà ? à nous montrer la nature du haut de son hélicoptère (?!) en gardant la caméra fixée sur Lui en quasi-permanence...

Oui, il y a des gens qui Y croient suffisamment pour nous faire partager leur Amour de la Vie, depuis les plus lointaines galaxies, jusqu'au fond des Océans...


Les deux du rang du milieu
Celle qui vit et laisse vivre


*La première fois c'était avec HOME de Monsieur Arthus-Bertrand

Edito - 15 février 2010

Loup y es-tu ?

Un jour où l'autre on finit tous par remarquer que le temps n'a pas la même valeur qu'on soit dans sa chambre à coucher, son salon ou sur son ordinateur. Maman !!!!! Quand est-ce qu'on mange ????? Dans cinq minutes... Eh ! Mais ça brûle !!! Oups, désolée... je n'ai pourtant fait que baisser les yeux sur mon clavier. Il y a quelque chose qui fait que chaque fois que j'effectue ce geste - baisser les yeux sur le clavier pour taper quelque chose, relever les yeux sur l'horloge située en haut à droite de mon écran - il y a une heure pile (ou face) qui passe. Au point que quand j'ai besoin que le temps passe plus vite, pour une raison x-y-z, je le refais et ça marche !!! Essayez juste un coup pour voir ! C'est magique ! En attendant je ne compte plus le nombre de fois où le repas brûle... ni le nombre de fois où mon cher et tendre enlève la casserole du feu juste à temps (quand il n'est pas lui aussi bloqué devant son ordinateur). En fait, il nous faudrait à tous les deux une bonne fée qui s'occuperait de ce genre de détails pour que nous puissions travailler tranquille. Élémentaire mon cher Watson...

Tranquille... le mot clé. Jusqu'où faut-il aller de nos jours pour être tranquille ? Souvent je me dis que même au fond des steppes de la Taïga... il se trouvera quelque chose ou quelqu'un pour me gâcher Ma Paix... Oh et puis c'est trop loin et bien trop froid, non, j'ai mon compte de neige ici... finalement tranquille, je peux aussi bien l'être enfermée-dedans de... moi. Ce qui n'empêchera jamais personne de fantasmer sur "L'enfant des neiges", par exemple, en attendant d'aller voir le dernier film du même Nicolas VANIER, pour ne pas le nommer : Loup.

Quand je recherche cette paix intérieure (que d'aucun nommeront aussi: sérénité), j'aime à me remémorer le long parcours de cette enfant-là. Les espaces immenses et immaculés - oh! le beau cliché ! - la construction de la cabane en rondins et last but not least (ou le contraire, j'ai oublié), le levain qui fermente en attendant d'être mûr pour la fabrication du pain. Monsieur Nougaro nous chantait, il n'y pas  si longtemps encore: "j'aime les mains d'une femme dans la farine.... la la la ... mes mains sur sa poitrine...". Plénitude  évocatrice de la Vie et de l'Amour. Vous avez dit BONHEUR ?


Les deux du rang du milieu
Celle qui fantasme

Edito - 8 février 2010

Les échos de l'entracte

 

A propos de Max,

Pour tout dire, je ne savais pas très bien comment commencer l'édito d'aujourd'hui. J'avais très envie d'en faire un parce que le dernier datait d'il y a quinze jours, mais c'est les vacances, les enfants sont partis skier et la maison est vide. Et je me sentais vide moi aussi.

Et puis hier soir, j'ai lu le synopsis de Max et les Maximonstres et j'ai tourné ça dans ma tête toute la nuit. Ce n'est déjà pas facile d'être une adulte, alors vous pensez; une enfant ! Mais avec beaucoup d'efforts j'y suis parvenue. J'ai revécu toutes mes terreurs au même âge que Max, toutes ces questions sur mon avenir, toutes ces angoisses sur la précarité de la vie quand j'ai pris conscience qu'elle allait s'arrêter un jour et que je ne savais pas comment ça serait.

Et comme j'ai détesté ma mère alors pour m'avoir mise dans cette inextricable situation !  Oh oui, comme je l'ai détestée, cette empêcheuse d'avancer en rond, de tourner droit.

Au point d'ailleurs que quand j'ai eu 13 ans je l'ai même faite mourir... dans ma tête.

Parce que je me sentais prête. Prête à revêtir ma tenue de louve et à traverser la steppe pour rejoindre la meute...

...et épouser son chef.


Les deux du rang du milieu.
Celle qui s'interroge


Edito - 27 janvier 2010

Les échos de l'entracte

 

A la poursuite d'un idéal
A la recherche du temps perdu...
A la madeleine rêvée de Marcel,
A la Madeleine incertaine du grand Jacques...

Je ne croyais en rien, même ça je n'y crois plus...

Un idéal ?
Heureux celui qui en trouve un. J'en connais (au moins un) de ces idéalistes dont l'idéal est de permettre à d'autres de réaliser le leur...
Ma mère disait : "il y a les idéaux et puis il y a ce que la Vie fera de toi... c'est pas toi qui décide". Et ce n'est pas le père de mes enfants qui la contredira.

Il est vrai que si j'ai caressé (!?) et abandonné beaucoup d'idéaux, je ne ferai sans doute jamais partie de la petite famille de ceux qui n'en poursuivent qu'un seul, et lui restent fidèles.

Et alors ?

Combien de "happy few" naissent avec un idéal au berceau ?
Combien de fourmis laborieuses sacrifiées sur l'autel d'un seul idéaliste ?
Combien d'idéalistes broyés par l'impitoyable machinerie des fourmis laborieuses ?

Comme dirait notre ami Georges (Brassens) : "... mourir pour des idées, d'accord mais de mort len-en-en-en-te.

Les deux du rang du milieu
Celle du milieu qui est le plus au centre


Edito - 18 janvier 2010

Les échos de l'entracte

 

Certaines expressions ont un pouvoir évocateur sûr. Ainsi «avoir une araignée au plafond» mâtiné de «araignée du soir : espoir - araignée du matin : chagrin» et voici, on ne peut mieux décrits, le mélancolique et le lunatique !

Qu'en est-il de ce «pou dans la tête» intitulant le film réalisé par Anne Crété ? Je ne vais certes pas déflorer la trame du récit de l'exploît de Donat Guignard : il faut donc trouver une autre entrée. Je vais, pour ce faire, vous narrer l'histoire de la puce de laboratoire (comme elle n'est pas de moi, je prie pour qu'elle soit du domaine public, ne désirant pas exposer mes commanditaires à la vindicte copyrightienne). Cette puce -savante- fut soumise à une expérience scientifique de haut-vol. A chacune des fois où il lui était ordonné de sauter, elle devait s'exécuter. Au premier ordre : pas de problème ; elle fit un saut prodigieux de puissance et de retenue. Avant de prononcer le second ordre, on lui arracha une patte. Elle sauta bravement malgré tout. On lui ôta une seconde patte, mais son courage ne faiblit point : elle bondit dès qu'on lui en intima l'ordre. Il en alla ainsi jusqu'à ce qu'il ne lui reste qu'une patte de puce unijambiste. «Saute !» . Croyez-moi, elle sauta. On se décida, mi-surpris, mi-amusé, à la priver de son ultime patte. L'ordre de sauter tonna encore une fois. Elle demeura immobile. «SAUTE !!» lui rugît-on. Pas de réaction. Rien. On s'autorisa donc à savamment conclure qu'une puce, privée de toutes ses pattes, devenait sourde (on n'osa émettre l'hypothèse subversive de son éventuelle et soudaine insubordination).

Cette histoire suffira je pense à proposer une définition approximative du "pou dans la tête". On se gardera de faire se côtoyer le pou et les fourmis anars - le monde souffre suffisamment de l'instrumentalisation de toutes ces misères qui n'ont même plus la force de hurler - d'ailleurs, Monsieur Guignard n'aurait certes pas accepté de peindre l'emblême des anarchistes sur son vaisseau. Non, plus précisément, avoir un pou dans la tête serait bel et bien le propre de ces opiniâtres génies qui ont su l'être, ignorant que cela leur était interdit.
Poil au permis.
Et bonne séance.

Ceux du rang du milieu
Celui qui ne sait plus s'il était assis à gauche ou à droite mais prend place tout de même près de sa Belle.


Edito - 11 janvier 2010

Les échos de l'entracte

 

Ethyle mon ami ?

Ethylique, le joli mot poétique.
Beaucoup plus joli qu'alcoolique.
Une liaison qui commence bien avant qu'on en ait conscience.
Un liaison passionnée et passionnante, pleine de fêtes, de brillantes conquêtes.
Qui continue pour une période plus ou moins longue.
Jusqu'à l'ultime trahison.
L'enfer remplace alors la passion.
Dépendance, co-dépendance, chutes et tourments, adieu ma dignité humaine...

Puis pour certains, pourquoi ? comment ?
Un miracle.
Une seconde chance.
Une renaissance.
Une nouvelle vie toute neuve.
Et parfois même encore plus belle que dans le plus fou des rêves.

- Elle est jolie votre histoire, vous reprendrez bien encore quelque chose ?
- Non merci... sans rancune !

Les deux du rang du milieu.
Celle d'à côté de çui de gauche.


Edito - 6 janvier 2010

Les échos de l'entracte

 

Mes sous, tes sous, nos sous.... sujet fou, sujet tabou ?

J'expliquais hier aux enfants que le mois de janvier est le mois le plus long de l'année avec ses sept semaines (au moins).

Effectivement, dès le 15 décembre (pour éviter la foule) on a fait le tour des magasins et les porte-monnaies sont vides.

On commence donc à vivre à crédit sur la paie de fin décembre... qui, comme par hasard (mais le hasard existe-t-il ?) arrive toujours un peu en avance. Au motif qu'il faut avoir bouclé les comptes avant la fin de l'année fiscale.

Résultat des courses, le père-noël est content, les commerçants sont contents, les enfants sont contents et le mois de janvier est long, long, long....

Bien sûr, il restera toujours des petits futés (dont je fais partie, si, si) qui auront investi une partie de la précieuse manne dans des places de cinéma. Après tout, profiter de la "platitude" de certaines soirées de janvier pour aller voir au ciné comment les financiers de Wall Street prennent le pouvoir économique de la planète (PEP) c'est pas une bonne idée ça ?

Les deux du rang du milieu
Celle d' (pas toujours) à côté de la plaque


Edito - 25 décembre 2009

Les échos de l'entracte

 

A l'heure du Lapsang Souchong bien sucré avec un nuage de lait....

A l'heure où les dindes ne craignent plus pour leur avenir (quoique)...

... qu'est le Cinéma devenu ?

Avant de passer au sujet subséquent : comment perdre 3 kgs pour l'été afin de pouvoir remettre notre maillot de bain...

Après "nos recettes pour les fêtes, cuisinez les meilleurs brownies de ce côté-ci du Mississippi" (recette sur demande au webmaster)

J'aimerais sacrifier à la tradition qui veut que nous fassions une rétrospective des meilleurs films projetés dans notre cinéma préféré :

Pour ne pas le nommer : Le Royal !


Malgré les habituels sujets superfétatoires, 2009 aura vu briller quelques petits bijoux lumineux bien choisis. Au Royal on visionne sur mesure pourrait être un slogan tout à fait congru ! Balzac n'aurait en rien renié notre gérante bien-aimée en Petite tailleuse de toiles... elle qui aime tant le cinéma asiatique !

Je disais donc; malgré une habituelle tendance des "majors" à l'exploitation de sujets récurrents, la résistance continue du côté de ceux qui ont su garder leur indépendance et par là-même leur liberté. Ces films-là rencontrent un succès de plus en plus probant qui montre bien que le cinéphile lambda se laisse de moins en moins avoir par la "grosse bouffe" et de mieux en mieux séduire par un cinéma d'auteur, infiniment plus riche et pertinent même si beaucoup moins clinquant et pour cause !

Les "Rois du monde" apprennent la sourdine, auraient-ils enfin rencontré leur iceberg ?

Les films marquants de 2009 quels furent-ils ? Même si tous n'étaient pas des remakes, loin s'en fut, il nous est arrivé de tourner en rond... (il n'empêche, certains des plus beaux longs métrages datent d'une époque où je ne logeais pas encore sur la planète bleue). En 2010, l'avenir se projetera-t-il toujours autant dans le passé? Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme... Oh, là, excusez-moi, il faut que j'aille vérifier si la formule est bien sous licence "Art Libre"!

Quoi qu'il arrive et en plus des voeux habituels, je nous souhaite par dessus tout d'être assez créatifs pour savoir sortir des sentiers battus. Que les impressions de "déjà vu" nous apportent des alternatives ou au moins des pistes. Que l'on continue à nous donner du blé à moudre plein nos trémies et des étoiles pleins nos mirettes...

Il semblerait qu'en cela nos cinéastes indépendants aient pris le bon chemin.

Et voilà, c'est tout moi ça ! Je voulais évoquer des films... et pour finir il y en a tant que je ne sais plus lequel choisir... être cinéphile c'est pire que... tiens, essayez donc d'expliquer le goût du sucre à quelqu'un qui n'en a jamais mangé !

Réjouissons-nous donc tous ensemble des programmations 2010èmes et pour Adeline Stern hip hip hip

HOURRAH !


Les deux du rang du milieu :
Celle d'à côté de la plaque*



*nom bien connu de la rédaction


Edito - 10 décembre 2009

Les échos de l'entracte

«EDITO :
"Tu n'aimeras point"
Jusqu'à quand et jusqu'à quel point peut-on se définir et s'affirmer par le biais d'une phrase négative ?

Je sais : j'aurais dû ponctuer d'un point d'interrogation, mais c'eût été mensonge de ma part. Je ne me pose aucune question : j'aboie, tel un chien enchaîné. Non que je sois homo ou hétero ou quoi que ce soit qui ne regarde que ma femme, mon zob, mes chèvres et moi. C'est vrai, ça choque. Oh là! il serait temps de mettre la barre (de choc) à la bonne hauteur, ou dans la bonne dimension, faire de l'esprit d'amour plutôt que de la tête-à-queue. Car si je ne m'abuse, le monde manque d'amour plus que de sexe, d'accord ? Et quant à moi, j'éprouve beaucoup plus de problèmes à aimer mon prochain qu'à la lui mettre (la tête au carré, what else!).

«Quelle vulgarité !», m'auto-critiquerais-je. Si le 'vulgus' est le 'commun', la vulgarité n'est hélas pas la communauté et encore moins le sens commun ! Foin de l'homophobie et de l'hétérophobie, c'est bien d'anthrophobie qu'il s'agit lorsque l'on prétexte de quelques grammes de viande, de quelques milligrammes d'hormones, pour faire d'un geste et d'un regard aimant les stigmates de la monstruosité, justifiant la mise au pilori, l'acte de désamour, la moue de la haine...

J'avais prévenu, j'ai parfois de la peine à aimer et je me méfie de qui n'aime pas... Serpent se mordant la queue que cette proposition là ? Ma pomme (d'Adam) en tressaute encore. C'est peut-être aussi quand même un peu que, vu d'en haut, ce pourrait bien être risible... Si les éclats de voix et de sanglots se transmuaient en étincelles de rires :o)

Quoi? Vous êtes utopistophobes-z-aussi mon cher ?
Ma foi, pourquoi pas.
Bonne séance et...  »

  • ... et arrête ton cinoche ! C'est un édito à but cinéphilolucratique, pour qu'on ait envie d'aller voir des films et qu'on remplisse la salle !
  • Ouais, ch'corrige, 'scuse, t'as ben raison maudit' helvète :o)  :

| ALLEZ AU ROYAL (on y mange ma foi fort bien !)
| MIRER LE CINEMATOGRAPHE !!

Copyright 2009 après J-C et toujours la castagne
Ceux du rang du milieu, çui d'gauche


Edito - 2 novembre 2009

Les échos de l'entracte

  • Quelles nuits dis-donc, quelles nuits !!!
  • Tu ne trouves pas que tu te répètes un peu là ?
  • Ben quoi... ce n'est pas de ma faute si on nous fait passer des nuits agitées au Royal plusieurs fois par année ! D'abord la Fête du Cinéma et puis la Nuit du Court Métrage, ensuite la Nuit de la Glisse... et dire qu'il y en a qui disent que se coucher tard nuit !
  • Tu parles... et puis avec toutes ces petites surprises, ces petits événements, ces cadeaux bonus...
  • Ah bon, lesquels ?
  • Les petites restaurations thématiques, les entrées gratuites si on se déguise, les concours de gâteaux, il n'y a pas à dire, ça motive, il n'y en a pas deux comme ça dans le Canton... même que le Grand Directeur de Swiss Films est partant pour remettre ça l'an prochain avec la Nuit du Court Métrage...
  • Génial ! Ceci dit, pour en revenir aux "Events" j'avoue que certaines présentations me laissent un peu perplexe. Pour le film "J'ai tué ma mère" par exemple, le fils accompagné de sa mère reçoit une entrée gratuite, mais il n'est pas précisé si celle-ci doit être morte ou vivante... pour la nuit de la glisse ensuite, on doit amener son snow ou le fart suffit ? Je trouve que c'est un peu léger parfois...
  • Faudra qu'on demande; t'as vu ils ont programmé Michael Jackson en plein pendant la saison de la chasse, c'est un signe !
  • T'inquiètes, on doit laisser les armes au vestiaire de toutes façons, par contre pour Lucky Luke tu n'oublieras pas ton ticket de loto...
  • Non, et pour Fish Tank, tu tâcheras de ne pas être en retard, il va y avoir du monde, on sera serrés comme....
  • Des sardines je sais, j'apporte mon ouvre-boîte !
  • Bon, ben c'est pas tout ça, si je veux gagner le concours du meilleur gâteau j'ai intérêt à m'activer, c'est pour bientôt Julie & Julia...
  • Exact, et il paraît que ceux qui brûleront leur abonnement de fitness sur la scène du Royal auront droit à une place gratuite...
  • Tu vois ? Encore deux cadeaux d'un coup... une place gratuite et des vacances ! ça sonne, on y retourne ?

Les deux du rang du milieu


© 2024 Cinéma Royal de Ste-Croix