lundi, 28 juin 2010 13:29

L’Agence tous risques

Produit par Ridley et Tony Scott, «L’Agence tous risques» constitue la version grand écran d’une série télévisée mythique de 97 épisodes, diffusée aux Etats-Unis entre 1983 et 1987. Cette dernière possède une grande valeur historique, car ce fut la première du genre à exploiter le traumatisme post-Vietnam.
Le film de Joe Carnahan, réalisateur de «Narc» (2002) recycle son argument de base en le transposant dans le contexte irakien. Chargés de récupérer des plaques servant à fabriquer des faux dollars, soi-disant dérobées par des comparses de Saddam Hussein, Hannibal Smith (Liam Neeson) et ses hommes sont les victimes innocentes d’un sacré coup fourré!
Accusés à tort, dégradés, emprisonnés, «Futé», «Barracuda» et les autres vont tenter de laver leur honneur de soldats. Un film d’action désinvolte et élégant comme baucoup les aiment, où l’on entend à plus d’une reprise la phrase légendaire du Chef Smith: «J’adore qu’un plan se déroule sans accrocs.»

Adeline Stern
lundi, 21 juin 2010 14:48

Suisse - Honduras

25 juin à 20h30

Mondial : Suisse - Honduras

Entrée gratuite, boissons en vente sur place !

lundi, 21 juin 2010 13:46

Suisse - Chili

Les deux leaders du groupe H, la Suisse, victorieuse face aux favoris espagnols (1-0), et le Chili, vainqueur du Honduras (1-0), s'affrontent pour une place en huitième de finale. Le Chili va devoir prendre garde à l'excellente défense suisse qui a démontré son efficacité face à la Roja.

Le samedi 26 juin, à 18h et 20h30 les deux premiers volets seront présentés en présence de la réalisatrice et de plusieurs protagonistes puis suivis d’une discussion. Un forfait spécial pour les 4 films est proposé au prix de 40.-

Comment les jeunes d’aujourd’hui passent-ils de l’enfance à l’âge adulte? Filmés pendant près de sept ans (entre 2002 et 2008) par la réalisatrice Béatrice Bakhti, sept adolescents d’Yverdon-les-Bains répondent à cette question clef avec une authenticité et une lucidité stupéfiantes. En résulte un véritable feuilleton du réel en quatre volets longs-métrages que le Royal propose dans son intégralité.

Cette épopée de l’identité commence avec «L’âge de l’innocence». A douze ans, Virginie, Xavier, Aurélie, This, Mélanie, Jordann et Rachel découvrent les tumultes de l’adolescence. Deux ans plus tard, ces mêmes adolescents entrent dans «La crise» pour s’efforcer d’exister face à leurs parents.

A seize ans, c’est déjà peut-être «La fin des illusions». Loin des parents, Virginie, Xavier et les autres font leurs premières expériences marquantes. Dans le dernier volet, «Adultes, mais pas trop…», les bientôt ex-ados, sur le point d’atteindre leur majorité, font leur bilan. Un document unique!

Adeline Stern

 

Romans d’ados 4 : Adultes mais pas trop

A bientôt 18 ans, les 7 romands suivis depuis leur pré-adolescence voient leur majorité arriver à grands pas! La liberté qui y est associée, tant rêvée peu de temps auparavant, semble désormais inquiéter plusieurs d’entre eux. Les responsabilités, l’armée, la vie politique, ce monde d’adulte effraie autant qu’il attire. Les choix et décisions deviennent lourds de sens et de réalités, et même si la malice n’a pas disparu, le ton est devenu plus grave. L’heure du bilan a sonné, et c’est avec une maturité encore fragile qu’ils reviennent sur les longues années qu’ils ont accepté de partager dans cette série exceptionnelle.

Le samedi 26 juin, à 18h et 20h30 les deux premiers volets seront présentés en présence de la réalisatrice et de plusieurs protagonistes puis suivis d’une discussion. Un forfait spécial pour les 4 films est proposé au prix de 40.-

Comment les jeunes d’aujourd’hui passent-ils de l’enfance à l’âge adulte? Filmés pendant près de sept ans (entre 2002 et 2008) par la réalisatrice Béatrice Bakhti, sept adolescents d’Yverdon-les-Bains répondent à cette question clef avec une authenticité et une lucidité stupéfiantes. En résulte un véritable feuilleton du réel en quatre volets longs-métrages que le Royal propose dans son intégralité.

Cette épopée de l’identité commence avec «L’âge de l’innocence». A douze ans, Virginie, Xavier, Aurélie, This, Mélanie, Jordann et Rachel découvrent les tumultes de l’adolescence. Deux ans plus tard, ces mêmes adolescents entrent dans «La crise» pour s’efforcer d’exister face à leurs parents.

A seize ans, c’est déjà peut-être «La fin des illusions». Loin des parents, Virginie, Xavier et les autres font leurs premières expériences marquantes. Dans le dernier volet, «Adultes, mais pas trop…», les bientôt ex-ados, sur le point d’atteindre leur majorité, font leur bilan. Un document unique!

Adeline Stern

 

Romans d’ados 3 : Les illusions perdues

A bientôt 16 ans, les 7 jeunes romands sont confrontés de plein fouet aux bonheurs mais surtout aux difficultés de l’adolescence. Premiers flirts, premières expériences sexuelles, premiers emplois, tout se bouscule dans leurs têtes et leurs corps. C’est désormais entre ados qu’ils tentent de mûrir, loin des parents qui à leurs yeux, ne comprennent rien à leurs vies. Rachel, Thys, Virginie, Jordann, Aurélie, Xavier et Mélanie évoluent à grande vitesse, et pour certains, d’une manière totalement inattendue par rapport à l’image qu’ils donnaient à 12 ans.

lundi, 31 mai 2010 16:17

Romans d’ados 2 : La crise

Le samedi 26 juin, à 18h et 20h30 les deux premiers volets seront présentés en présence de la réalisatrice et de plusieurs protagonistes puis suivis d’une discussion. Un forfait spécial pour les 4 films est proposé au prix de 40.-

Comment les jeunes d’aujourd’hui passent-ils de l’enfance à l’âge adulte? Filmés pendant près de sept ans (entre 2002 et 2008) par la réalisatrice Béatrice Bakhti, sept adolescents d’Yverdon-les-Bains répondent à cette question clef avec une authenticité et une lucidité stupéfiantes. En résulte un véritable feuilleton du réel en quatre volets longs-métrages que le Royal propose dans son intégralité.

Cette épopée de l’identité commence avec «L’âge de l’innocence». A douze ans, Virginie, Xavier, Aurélie, This, Mélanie, Jordann et Rachel découvrent les tumultes de l’adolescence. Deux ans plus tard, ces mêmes adolescents entrent dans «La crise» pour s’efforcer d’exister face à leurs parents.

A seize ans, c’est déjà peut-être «La fin des illusions». Loin des parents, Virginie, Xavier et les autres font leurs premières expériences marquantes. Dans le dernier volet, «Adultes, mais pas trop…», les bientôt ex-ados, sur le point d’atteindre leur majorité, font leur bilan. Un document unique!

Adeline Stern

 

Romans d’ados 2 : La crise

Mélanie, Xavier, Virginie, Jordann, Rachel, Thys et Aurélie ont 14 ans. Les garçons muent, les filles voient leurs corps changer. Flirts, sorties, ivresses occupent leurs esprits, alors que leurs parents tentent désespérément de garder sinon une influence ou l’autorité, au moins le minimum de dialogue avec leurs ados. Mais le besoin des jeunes de s’affirmer, de se forger une identité va bouleverser le quotidien. Tout ou presque devient source de conflits: factures de téléphone, heures de rentrée, tenues vestimentaires… l’écart se creuse peu à peu entre ados et parents.

Le samedi 26 juin, à 18h et 20h30 les deux premiers volets seront présentés en présence de la réalisatrice et de plusieurs protagonistes puis suivis d’une discussion. Un forfait spécial pour les 4 films est proposé au prix de 40.-

Comment les jeunes d’aujourd’hui passent-ils de l’enfance à l’âge adulte? Filmés pendant près de sept ans (entre 2002 et 2008) par la réalisatrice Béatrice Bakhti, sept adolescents d’Yverdon-les-Bains répondent à cette question clef avec une authenticité et une lucidité stupéfiantes. En résulte un véritable feuilleton du réel en quatre volets longs-métrages que le Royal propose dans son intégralité.

Cette épopée de l’identité commence avec «L’âge de l’innocence». A douze ans, Virginie, Xavier, Aurélie, This, Mélanie, Jordann et Rachel découvrent les tumultes de l’adolescence. Deux ans plus tard, ces mêmes adolescents entrent dans «La crise» pour s’efforcer d’exister face à leurs parents.

A seize ans, c’est déjà peut-être «La fin des illusions». Loin des parents, Virginie, Xavier et les autres font leurs premières expériences marquantes. Dans le dernier volet, «Adultes, mais pas trop…», les bientôt ex-ados, sur le point d’atteindre leur majorité, font leur bilan. Un document unique!

Adeline Stern

 

Romans d’ados 1 : La fin de l’innocence

Agés de 12 ans, Virgine, Xavier, Aurélie, Thys, Mélanie, Jordann et Rachel voient arriver l’ado­lescence pleins de rêves, mais aussi d’inquiétudes. Ils sentent qu’il sont en train de changer, qu’il est temps de s’affirmer, en particulier vis à vis de leurs parents. C’est le temps des premiers conflits familiaux, de la recherche d’indépendance. Avec une énorme sincérité, ils livrent leurs secrets, racontent leurs problèmes, ouvrent leurs univers. Qu’il est difficile de quitter l’innocence de l’enfance pour découvrir les tumultes de l’adolescence. Rires, larmes, colères, doutes et révoltes sont au rendez-vous de ce premier épisode.

Vendredi 18 et samedi 19 juin, pour fêter le cinéma turc, le Royal propose un forfait spécial pour les quatre programmes et le repas à 50.-

Cinéaste et scénariste très populaire dans son pays, Çagan Irmak a pulvérisé plus d’une fois le box-office. Avec «Karanliktakiler» (2009), son dernier film en date, il nous fait découvrir une autre facette du cinéma turc, la comédie de mœurs.

Travaillant dans une agence de publicité très tendance, Egemen habite seul avec sa mère, une créature épuisante, dont il doit perpétuellement gérer les crises d’angoisse, sautes d’humeur et autres douleurs mystérieuses. Hors de ce cocon cauchemardesque, le jeune homme se montre plutôt sensible au charme de sa manager, au point de songer à quitter son appartement sombre et poussiéreux.

Etant l’unique raison de vivre de sa mère, qui préférerait mourir plutôt que d’être séparé de son fils adoré, Engemen en viendra aux dernières extrémités pour gagner sa liberté… Description drolatique d’un couple infernal, névrosé jusqu’à la moelle, ce festival de dysfonctionnements révèle sous ses dehors grinçants une profondeur émouvante.

Vincent Adatte

Vendredi 18 et samedi 19 juin, pour fêter le cinéma turc, le Royal propose un forfait spécial à 50.- comprenant les quatre programmes ainsi que le repas.

Depuis plusieurs années, les réalisateurs Orhan Eskiköy et Özgür Dogan tournent des documentaires qui traitent frontalement les questions sociales et politiques qui agitent leur pays. Tourné en 2008, le formidable «Iki Dil Bir Bavur» suit sur une année un frêle instituteur âgé de vingt ans.

Muté dans un village du sud-est anatolien, Emren va au-devant d’une bien lourde tâche: apprendre le turc à des enfants qui ne parlent que le kurde, alors que lui-même ne sait pas un traître mot de cette langue! Par le biais d’une mise en scène dictée par le seul souci du réel, les deux cinéastes restituent un lent apprivoisement mutuel, qui va rapprocher deux cultures qui s’ignorent.

«Nous voulions filmer la question kurde non pas sur le terrain conflictuel, mais dans les salles de classe qui sont toujours des lieux où l’on apprend les uns des autres», ont expliqué les auteurs de ce documentaire qui constitue un témoignage unique sur une problématique encore trop ignorée.

Vincent Adatte

lundi, 31 mai 2010 14:56

Hayat var (C’est la vie)

Vendredi 18 et samedi 19 juin, pour fêter le cinéma turc, le Royal propose un forfait spécial pour les quatre programmes et le repas à 50.-

Le temps d’un week-end exceptionnel consacré au cinéma turc, le spectateur est invité à découvrir plusieurs facettes d’une cinématographie passionnante par sa diversité. Inclassable, le réalisateur stambouliote Reha Erdem poursuit une œuvre forte et intransigeante. A propos de «Hayat var» («C’est la vie»), son cinquième long-métrage, Erdem dit avoir tourné un film sur une «sainte» des temps modernes.

A quatorze ans, Hayat n’est plus une enfant, mais pas encore une femme. Elle vit à Istanbul, au bord du Bosphore, entre un grand-père asthmatique et un père, pêcheur de profession, mais qui trempe dans des trafics louches.

Alors qu’elle éprouve déjà la nostalgie de son enfance, Hayat est rattrapée par sa féminité qui va la faire brutalement basculer dans le monde des adultes, un monde violent et machiste. Envers et contre tout, la petite tente de préserver sa part d’innocence… D’une puissance visuelle extraordinaire, qui fait la part belle à l’onirisme, un film qui serre le cœur!

Vincent Adatte

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